Troisième édition (première 1832).
Envoi a. s. en anglais : To my dear friend Gustave Planche. George
Critique d’art lumineux (voyez sur le site son Salon de 1831), critique littéraire talentueux à La Revue des deux Mondes – il y entre pour ses 22 ans – Gustave Planche (1808-1857) est alors intimement lié à George Sand qu’il admire et aime follement (elle non) jusqu’à provoquer en duel Alexandre Dumas qui propage la rumeur d’une liaison. Planche est le meilleur soutien de la jeune romancière à ses débuts, l’assiste auprès des éditeurs, lui présente des écrivains comme Sainte-Beuve ou des artistes comme David d’Angers et surtout publie en 1832 et 1833 les plus beaux articles jamais écrits sur Indiana et Valentine, les deux premiers romans de George Sand édités sous son nom.
Ex-libris de Paul Meurice, le grand ami et l’exécuteur testamentaire de Victor Hugo.
Exemplaire cité par Vicaire (TVII, 197)
Rousseurs.